Injuste mains, des mains avides.
Cœur de la Hongrie déchirée.
Nous ne sommes pas nous rien coupable, que toute autre nation.
Que ceux qui ont participé à la fois l'allemand dans la guerre.
Juste un grand péché.
Cœur de la Hongrie déchirée.
Nous ne sommes pas nous rien coupable, que toute autre nation.
Que ceux qui ont participé à la fois l'allemand dans la guerre.
Juste un grand péché.
NON! NON! JAMAIS!
Belle richesse CJ, la fierté Matyas
On ne peut, non, jamais! donner ce pays, ce bijou !
Ne sortira pas de ce pain serbes Banat!
Hongrois sur les Carpates, le vent soufflera!
Si le moment venu - permettra d'ouvrir les tombes,
Si le moment venu - en vient à se remettre la Hongrie,
Si le temps vient - sera forte dans le bras,
«Attendez, mes frères, nous serons là, nous n'avons pas tout donné!
Puis nous courons devant la colère noble,
Sang de la croix nous peignons, puis se repose
Bafouer et tout! - Le combat sera rude! -
S'opposer aux portes des enfers!
Rugissant, nous nous précipiterons, comme la marée,
Nous nous battons jusqu'à la dernière goutte de sang
Et un nouveau tracé de la frontière hongroise
Dans son ensemble, comme il n'ya pas si longtemps,
Et les étoiles dans le ciel à nouveau à l'honneur.
Le drapeau, l'épée de la foudre,
Le méchant est en marche loin de nous - parce que nous sommes Hongrois!
Monte vers le ciel nos voix en colère:
Nous voulons notre pays d'origine! ou mourir pour lui.
Notre pays n'en est pas moins, non, personne n'en doute,
Il brillera, comme autrefois, lumineux,
Un cri venu de la Plaine hongroise montera à travers la montagne :
Non ne laissez , jamais! Jamais Arpad dans notre maison!
Premier semestre 1922.
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